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Les monastères de l'Alsace mérovingienne et carolingienne

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Caractéristiques

Auteur et institut Christian Wilsdorf
Périodes Antiquité / Haut Moyen Âge
Thèmes Cultes
CartographeJean-Philippe Droux, CNRS (ARCHIMEDE)
EchelleAlsace
Date de création2006
Date de dernière modification2006
SourceCarte originale
Comment citer cette sourceChristian Wilsdorf, « Les monastères de l'Alsace mérovingienne et carolingienne », in Atlas historique d'Alsace, www.atlas.historique.alsace.uha.fr, Université de Haute Alsace, 2006

Notice de la carte

Les monastères de l’Alsace mérovingienne et carolingienne

Grâce à de vastes espaces inhabités dont les Mérovingiens puis les ducs d’Alsace et finalement les Carolingiens pouvaient disposer librement en faveur des établissements religieux, l’Alsace fut une terre de prédilection des moines et des moniales qui recherchaient la solitude. Voici la liste des monastères d’hommes implantés dans les actuels département alsaciens avec l’indication de l’époque de leur fondation : Wissembourg (vers 660), Surbourg (av. 749), Neuwiller (entre 716 et 747), Marmoutier (fin du VIe siècle ou VIIe siècle), Honau (début du VIIIe siècle), Haslach (entre 771 et 816), Ebersmunster (VIIe siècle), Lièpvre (vers 775), Saint- Hippolyte (vers 770), Munster (vers 660), Lautenbach (VIIIe siècle), Murbach (vers 728), Saint-Amarin (VIIe siècle). Les monastères de femmes sont Saint-Etienne à Strasbourg (VIIIe siècle), Eschau (vers 778), Hohenbourg sur le Mont Sainte-Odile (VIIe siècle ou début du VIIIe siècle), Niedermunster (av. 837), Erstein (849 ou 850), Andlau (vers 880) et Masevaux (av. 780).

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